Accéder au contenu principal

Financement et levée de fonds pour entreprises et PME

Des conseils d’expert pour le financement des PME en Suisse

Objectifs et principes d’accompagnement

En Suisse, la réussite d’un projet de création, de reprise ou de vente d’entreprise repose sur un financement bien structuré et un accompagnement stratégique. Dans un environnement bancaire exigeant, la qualité du dossier, la clarté du business plan et la cohérence des prévisions financières sont déterminantes. Notre approche vise à rendre le projet intelligible, comparable et convaincant pour les partenaires financiers.

En tant que spécialistes du financement aux entreprises, notre objectif est double : réduire l’incertitude pour les prêteurs et maximiser la probabilité d’obtention d'un financement commercial en Suisse.

De fait, nous clarifions le modèle économique et documentons les hypothèses, par ailleurs, nous articulons les besoins d’investissement avec la capacité de remboursement.

Notre démarche de conseil auprès des professionnels en matière de recherche de financement privilégie une grande transparence, la traçabilité des chiffres et la progression par étapes pour sécuriser les jalons clés d'une levée de fonds.

La lisibilité du dossier est au cœur du processus : une grille de lecture commune (marché, offre, organisation, finances) facilite le travail des comités de crédit. Nous veillons à l’alignement entre ambition commerciale, besoins en ressources et trajectoire financière afin de sécuriser la montée en puissance sans tensions inutiles.
Planifier un entretien conseil

Les différents types de financement commercial en Suisse

Crédit de type commercial pour créer ou reprendre une entreprise, financer des équipements matériels, factoring ou affatcurage pour les besoins en trésorerie.

Le financement commercial en Suisse repose sur un large éventail de solutions permettant aux entreprises de sécuriser leur trésorerie, d’investir dans leurs équipements et de soutenir leur croissance. Selon la taille de la structure, le secteur d’activité et les objectifs stratégiques, plusieurs formes de financement peuvent être mobilisées.

Le crédit bancaire professionnel

Le crédit bancaire reste la solution la plus courante pour financer les investissements matériels, le besoin en fonds de roulement ou un projet d’expansion. Il peut être octroyé à court, moyen ou long terme selon la nature du projet et la capacité de remboursement. Les banques suisses évaluent la solidité du business plan, la rentabilité prévisionnelle et les garanties disponibles avant d’accorder le prêt.

Le leasing professionnel

Le leasing constitue une alternative souple et avantageuse pour les PME souhaitant acquérir des véhicules, du matériel informatique ou des machines sans immobiliser leur capital. Les loyers mensuels offrent une visibilité budgétaire et préservent la capacité d’endettement. Cette solution convient particulièrement aux entreprises en croissance ou à forte intensité d’équipement.

Le factoring et les aides publiques

Le factoring permet de transformer les factures clients en liquidités immédiates, réduisant ainsi les délais de paiement et les risques d’impayés. À ces dispositifs privés s’ajoutent des mécanismes publics de soutien comme les cautionnements cantonaux ou les aides du Cautionnement Romand, qui facilitent l’accès au financement pour les jeunes entreprises ou les projets innovants.

Pourquoi se faire conseiller pour obtenir un financement pour un projet d’entreprise en Suisse ?

Obtenir un financement en Suisse n’est jamais une simple formalité. Entre les exigences bancaires, la préparation des documents et la présentation du projet, de nombreux entrepreneurs se heurtent à une réalité complexe.
C’est précisément là qu’un conseiller en financement d’entreprise apporte une valeur déterminante.

Structurer un projet solide dès le départ

Avant même de solliciter les banques, un accompagnement professionnel permet de valider la faisabilité du projet et d’en clarifier les besoins réels.
Le conseiller aide à définir un modèle économique cohérent, à construire un business plan convaincant et à établir des prévisions financières réalistes.
Ce travail préparatoire renforce la crédibilité du dossier et rassure les futurs partenaires financiers.

Comprendre les attentes des établissements suisses

Les banques suisses évaluent avant tout la solidité du projet, la rentabilité prévisible et la capacité de remboursement.
Un expert en financement connaît leurs critères et sait comment présenter les informations de manière claire et structurée : ratios financiers pertinents, justification des marges, calendrier de remboursement adapté.
Grâce à son expérience, il oriente le dirigeant vers le montage financier le plus approprié, qu’il s’agisse d’un crédit, d’un leasing, d’un prêt mixte ou d’un cautionnement.

Gagner en efficacité et en crédibilité

Un accompagnement spécialisé permet de négocier dans de meilleures conditions et d’accéder à des solutions parfois méconnues, comme les garanties publiques ou les dispositifs cantonaux (FAE Genève, Cautionnement Romand, etc.).
Le conseiller anticipe les points sensibles, prépare les réponses aux questions des prêteurs et accélère les délais de décision.

Un investissement rentable pour tout entrepreneur

Se faire conseiller, c’est avant tout sécuriser son financement et éviter les erreurs coûteuses.
En Suisse, où la rigueur et la transparence financière sont essentielles, un accompagnement professionnel devient un véritable levier de réussite pour tout projet de création, de reprise ou de développement d’entreprise.

Planifier un entretien conseil

Financer la création d’entreprise en Suisse : du business plan au crédit professionnel

Créer une entreprise exige un cadrage chiffré rigoureux. Nous structurons un business plan précis qui explicite la proposition de valeur, le marché adressé, la stratégie de prix et la structure de coûts. Les besoins d’investissement (CAPEX), les charges d’exploitation (OPEX) et le besoin en fonds de roulement (BFR) sont détaillés pour dimensionner correctement les besoins financiers.

Méthodologie financière

Le compte de résultat prévisionnel, le plan de trésorerie mensuel et le bilan projeté sont construits avec des hypothèses explicites et des scénarios de sensibilité. L’objectif est de préserver la liquidité dans la phase de lancement tout en soutenant la montée en puissance commerciale. Nous équilibrons apport de fonds propres et dette pour optimiser la charge financière et la solvabilité.
Un focus particulier est mis sur les cycles d’encaissement et de décaissement, la politique d’achats et la capacité de production. Ces éléments conditionnent la courbe d’apprentissage et la vitesse d’atteinte du seuil de rentabilité. Nous aidons à définir des indicateurs de suivi simples qui permettent d’ajuster les efforts commerciaux et marketing au fil des premiers mois.

Structurer le financement d’une reprise d’entreprise ou de PME

Reprendre une entreprise est une opération stratégique qui requiert de la rigueur. Nous démarrons par un diagnostic complet : qualité des revenus, récurrence, saisonnalité, structure de coûts, exposition contractuelle et besoins d’investissement différés. La valorisation croise l’approche par multiples, l’actualisation des flux et l’analyse patrimoniale pour obtenir une fourchette documentée.

Montage financier et gouvernance

Le plan de financement combine un financement d’acquisition, des financements d’équipement lorsque nécessaire et une solution de trésorerie qui sécurise le cycle d’exploitation. Le calendrier d’amortissement est calibré pour lisser la charge et éviter les pics de tension. Des mécanismes de gouvernance (pacte, clauses d’earn‑out, calendrier de transition) permettent d’aligner les intérêts et de protéger la trajectoire post‑rachat.
Planifier un entretien conseil

Préparer la vente d’une PME en Suisse avec un accompagnement professionnel

La vente ou la transmission d’une entreprise ne s’improvise pas. La démarche commence par une évaluation contextualisée, alignée sur les performances constatées et les perspectives sectorielles. La data room centralise les éléments financiers, juridiques et opérationnels, afin de fluidifier les analyses des repreneurs et de réduire les allers‑retours.

Processus et calendrier

Nous définissons un calendrier réaliste : préparation, diffusion confidentielle, réception des marques d’intérêt, questions/réponses, négociation des termes, contractualisation et closing. Chaque étape s’accompagne d’un livrable clair pour sécuriser le déroulé, raccourcir les délais et limiter les frictions.

Pré‑requis essentiels

Les points d’attention majeurs incluent une évaluation multi‑méthodes avec hypothèses explicitées, un argumentaire financier et opérationnel homogène pour les repreneurs, l’anticipation des sujets sensibles et des conditions suspensives, ainsi qu’une confidentialité maîtrisée tout au long du processus.

Optimiser sa trésorerie et ses investissements avec le leasing et le factoring

Au‑delà du financement bancaire traditionnel, des solutions complémentaires accroissent la flexibilité financière. Le financement locatif d’équipements permet d’étaler l’effort d’investissement et de préserver la capacité d’endettement. La mobilisation des créances commerciales améliore la liquidité, accélère les encaissements et réduit l’exposition aux retards de paiement.

La gestion de la trésorerie constitue un enjeu majeur pour les entreprises suisses, qu’il s’agisse d’assurer leur stabilité financière, de financer la croissance ou de maintenir leur compétitivité sur le marché. Dans ce contexte, le leasing et le factoring s’imposent comme deux leviers essentiels permettant d’optimiser les flux financiers, d’alléger les contraintes bancaires et de renforcer la flexibilité de gestion.

Le leasing : financer les investissements sans immobiliser le capital

Le leasing professionnel est une solution de financement particulièrement adaptée aux entreprises souhaitant acquérir du matériel, des véhicules, des machines industrielles ou des équipements informatiques sans recourir à un crédit bancaire classique. Ce mode de financement permet d’utiliser un bien moyennant le paiement de loyers réguliers, tout en préservant la capacité d’endettement et les liquidités de l’entreprise.

En choisissant le leasing, l’entreprise étale son investissement sur plusieurs années, ce qui facilite la planification budgétaire et limite l’impact sur le bilan. Les loyers sont comptabilisés comme charges d’exploitation, ce qui peut présenter un avantage fiscal. De plus, le leasing permet de bénéficier d’équipements récents et performants sans contrainte de propriété, favorisant ainsi l’innovation et la productivité.

Cette approche convient aussi bien aux jeunes entreprises en phase de développement qu’aux PME établies cherchant à moderniser leur parc matériel ou à accroître leurs capacités de production.

Le factoring : transformer les créances clients en liquidités immédiates

Le factoring (ou affacturage) répond à un autre besoin crucial : la gestion du cycle d’exploitation. En cédant leurs factures à un organisme spécialisé, les entreprises peuvent obtenir rapidement les fonds correspondant à leurs créances clients, sans attendre les délais de paiement. Cette solution renforce la trésorerie, réduit le risque d’impayé et assure une meilleure visibilité sur les flux de trésorerie à court terme.

Outre la mise à disposition immédiate de liquidités, le factoring inclut souvent des services complémentaires : relance clients, gestion comptable des factures, voire couverture du risque de non-paiement. Cela permet aux dirigeants de se concentrer sur le développement commercial plutôt que sur le suivi administratif.

Le factoring s’adresse aussi bien aux PME qu’aux entreprises exportatrices, particulièrement exposées à des délais de paiement longs ou à une forte saisonnalité.

Combiner leasing et factoring pour une stratégie financière agile

Utilisés conjointement, le leasing et le factoring permettent d’équilibrer les flux financiers et de renforcer la stabilité économique de l’entreprise. Le leasing optimise la structure d’investissement à long terme tandis que le factoring sécurise la trésorerie à court terme. Ensemble, ils offrent une réponse complète aux enjeux de financement et de gestion du capital circulant.

Ces outils, lorsqu’ils sont intégrés dans une stratégie financière globale, contribuent à améliorer la performance, à préserver la solvabilité et à garantir une croissance durable. Bien maîtrisés, ils deviennent de véritables leviers de compétitivité pour les entreprises suisses souhaitant conjuguer prudence financière et ambition de développement.

Cas d’usage et bénéfices

Pour les entreprises à forte intensité d’équipement, lisser l’effort par des loyers prévisibles offre une meilleure visibilité budgétaire et évite de concentrer le risque sur une seule source de financement. Pour les sociétés en croissance ou exposées à des délais clients longs, la mobilisation des factures convertit l’actif circulant en trésorerie opérationnelle.

Business plan et prévisions financières : la clé de tout financement réussi

Le business plan n’est pas qu’un dossier de demande de financement : c’est un outil de pilotage. Sa force repose sur la cohérence des hypothèses, la clarté des tableaux et la capacité à expliquer les écarts entre scénario et réalisé. Nous construisons des documents qui rendent compte de la rentabilité, de la trajectoire de trésorerie et des besoins futurs, afin d’anticiper et de décider en connaissance de cause.

Le business plan constitue le fondement de toute demande de financement en Suisse. Véritable carte d’identité économique du projet, il traduit la vision de l’entrepreneur en données chiffrées cohérentes et vérifiables. Les investisseurs et les établissements bancaires s’appuient sur ce document pour évaluer la solidité du modèle économique, la rentabilité attendue et la capacité de remboursement.

Un business plan structuré doit présenter une stratégie claire : marché cible, positionnement, offre de produits ou services, organisation interne et projections financières. Ces éléments doivent être appuyés par des prévisions chiffrées réalistes, fondées sur des hypothèses solides. Les tableaux prévisionnels – compte de résultat, bilan projeté, plan de trésorerie – permettent d’anticiper les besoins financiers et de démontrer la viabilité du projet sur plusieurs années.

La qualité des prévisions financières est déterminante. Elles doivent refléter les marges réelles, la saisonnalité de l’activité et les charges fixes et variables de l’entreprise. Les banques analysent notamment la capacité d’autofinancement, le seuil de rentabilité et la marge de sécurité. Un plan financier bien construit facilite la discussion avec les partenaires et renforce la crédibilité de l’entrepreneur.

Au-delà de son rôle dans la recherche de crédit, le business plan est un outil de pilotage indispensable. Il permet de suivre les écarts entre les résultats réels et les prévisions, d’ajuster la stratégie et de mesurer la performance dans le temps. En s’appuyant sur des données actualisées, il devient un instrument de gestion et de communication interne, essentiel à toute entreprise souhaitant évoluer de manière durable et maîtrisée.

Contenus attendus par les financeurs

Les composantes clés comprennent un compte de résultat prévisionnel, un bilan projeté, un plan de trésorerie mensuel, des hypothèses de ventes et de marges, ainsi que le plan d’investissement et son amortissement. Des tests de sensibilité mettent en évidence les variables critiques et leurs impacts.

Ils ont financé ou vendu leur entreprise avec un accompagnement structuré

Les retours d’expérience convergent : un dossier clair et traçable accélère l’instruction et améliore les conditions. La préparation en amont des pièces financières et la pédagogie appliquée aux hypothèses facilitent le dialogue avec les comités de crédit.

Exemples représentatifs

« Grâce à un dossier parfaitement cadré, nous avons pu financer la reprise d’une entreprise industrielle à Lausanne avec un montage combinant financement d’acquisition et financement d’équipements. Le calendrier a été respecté et la trésorerie post‑rachat est restée confortable. »

FAQ – Financement, rachat et vente d’entreprise en Suisse

Comment financer la reprise d’une PME en Suisse ? La voie la plus fréquente combine un financement d’acquisition adossé à des fonds propres, éventuellement complété par un financement d’équipement et une solution de trésorerie. L’ensemble s’appuie sur un business plan précis et des prévisions vérifiables.

Crédit ou financement locatif ?

Quelle différence entre financement bancaire et financement locatif d’équipements ? Le premier couvre les investissements durables et le besoin en fonds de roulement ; le second étale le coût des équipements sans immobiliser de capitaux et préserve la capacité d’endettement. Les deux approches sont complémentaires.

Conclusion / Synthèse

Financer, reprendre ou vendre une entreprise en Suisse requiert une préparation méthodique et une traduction chiffrée crédible du projet. La combinaison d’un business plan lisible, de prévisions réalistes et d’un montage financier équilibré permet de sécuriser les décisions des partenaires et de préserver la trajectoire opérationnelle.

Perspectives

Une gouvernance financière disciplinée crée la confiance, accélère les délais d’instruction et améliore les conditions obtenues. Avec une préparation en amont et des documents alignés sur les attentes des financeurs, les entreprises gagnent en lisibilité et en capacité d’action.